# HG changeset patch # User "Hugues Frachon" # Date 1235119142 -3600 # Node ID 5abf0e11ce7e6953846fb5ffc9c4b3438cc138d6 # Parent 2cd5d582c9568c14bc56deb9b4ee0721b900eba6 Relecture et typographie diff -r 2cd5d582c956 -r 5abf0e11ce7e fr/tour-basic.tex --- a/fr/tour-basic.tex Wed Feb 18 20:38:12 2009 +0100 +++ b/fr/tour-basic.tex Fri Feb 20 09:39:02 2009 +0100 @@ -459,7 +459,7 @@ définir la valeur de l'élément \texttt{username} dans la section \texttt{ui}''. Une section continue jusqu'à ce qu'une nouvelle commence, ou que la fin du fichier soit atteinte. Mercurial ignore -les lignes vide et traite tout texte situé à la suite d'un +les lignes vides et traite tout texte situé à la suite d'un ``\texttt{\#}'' jusqu'à la fin de la ligne comme un commentaire. \subsubsection{Choisir un nom d'utilisateur} @@ -467,14 +467,14 @@ Vous pouvez utiliser n'importe quelle valeur pour votre \texttt{username}, car cette information est destinée à d'autres personnes et non à être interprétée par Mercurial. La convention que la plupart des personnes -suivent est d'utiliser leurs noms suivies de leurs adresses emails, +suivent est d'utiliser leur nom suivi de leur adresse email, comme montrée ci dessus: \begin{note} Le mécanisme interne du serveur \textit{web} intégré à Mercurial, masque les adresses emails, pour rendre plus difficile leurs récupérations par les outils utilisés par les \textit{spammmers}. - Ceci réduit la probabilité que vous receviez encore plus de + Ceci réduit la probabilité que de recevoir encore plus de \textit{spam} si vous vous publiez un dépôt sur internet. \end{note} @@ -483,20 +483,20 @@ Lorsque l'on effectue une opération de \textit{commit}, Mercurial lance automatiquement un éditeur de texte pour permettre de saisir un message qui décrira les modifications effectuées dans ce -\textit{changeset}. Ce message est nommée le \emph{message de +\textit{changeset}. Ce message est nommé le \emph{message de \textit{commit}}. Ce sera un enregistrement pour tout lecteur expliquant le pourquoi et le comment de vos modifications, et il sera affiché par la commande \hgcmd{log}. \interaction{tour.commit} -L'éditor que la commande \hgcmd{commit} déclenche ne contiendra +L'éditeur que la commande \hgcmd{commit} déclenche ne contiendra qu'une ligne vide suivi d'un certain nombre de lignes commençant par ``\texttt{HG:}''. \begin{codesample2} \emph{empty line} HG: changed hello.c \end{codesample2} -Mercurial ignore les lignes qui commence avec ``\texttt{HG:}'', il +Mercurial ignore les lignes qui commencent avec ``\texttt{HG:}'', il ne les utilise que pour nous indiquer quels fichiers modifiés il se prépare à \textit{commiter}. Modifier ou effacer ces lignes n'a aucune conséquence sur l'opération de \textit{commit}. @@ -505,7 +505,7 @@ Comme \hgcmd{log} n'affiche que la première ligne du message de \textit{commit} par défaut, il est souvent considéré comme une bonne -pratique de rédiger des messages de \textit{commit} qui rentre que +pratique de rédiger des messages de \textit{commit} qui n'entrent que sur une seule ligne. Voilà un exemple concret de message de \textit{commit} qui \emph{ne suit pas} cette directive, et qui a donc un résumé peu lisible. @@ -516,35 +516,35 @@ summary: include buildmeister/commondefs. Add an exports and install \end{codesample2} -A ce sujet, il faut noter qu'il n'existe pas de règle absolu dans ce +A ce sujet, il faut noter qu'il n'existe pas de règle absolue dans ce domaine. Mercurial lui-même n'interprète pas les contenus des messages de \textit{commit}, ainsi votre projet est libre de concevoir différentes -politiques de formattage des messages. +politiques de formatage des messages. Ma préférence personnelle va au message court, mais informatif, qui offre -des précisions supplémentaires à ce que pourrait m'apprendre une commande +des précisions supplémentaires par rapport à ce que pourrait m'apprendre une commande \hgcmdargs{log}{--patch}. \subsection{Annuler un \textit{commit}} Si, en rédigeant le message, vous décidez que finalement vous ne -voulez pas effectuer ce \textit{commit}, il suffit de simplement quitter +voulez pas effectuer ce \textit{commit}, il suffit de quitter simplement l'éditeur sans sauver. Ceci n'aura aucune conséquence sur le dépôt ou les fichiers de l'espace de travail. -Si vous exécuter la commande \hgcmd{commit} sans aucun arguments, elle +Si vous exécutez la commande \hgcmd{commit} sans aucun argument, elle enregistre toutes les modifications que vous avez faites, comme le montre -la commande \hgcmd{status} et \hgcmd{diff}. +les commandes \hgcmd{status} et \hgcmd{diff}. \subsection{Admirer votre travail} Une fois que votre \textit{commit} est terminé, vous pouvez utiliser la commande \hgcmd{tip} pour afficher le \textit{changeset} que nous venons de créer. Cette commande produit une sortie à l'écran qui est -identique à celle du \hgcmd{log}, maios qui n'affiche que la dernière +identique à celle du \hgcmd{log}, mais qui n'affiche que la dernière révision du dépôt. \interaction{tour.tip} -On fait courament référénce à la dernière révision du dépôt comme +On fait couramment référénce à la dernière révision du dépôt comme étant la révision \textit{tip}, ou plus simplement le \textit{tip}. \section{Partager ses modifications} @@ -560,7 +560,7 @@ Pour commencer, construisons un clône de notre dépôt \dirname{hello} qui ne contiendra pas le changement que nous venons d'effectuer. Nous -l'appelerons notre dépôt temporaire \dirname{hello-pull}. +appelerons notre dépôt temporaire \dirname{hello-pull}. \interaction{tour.clone-pull} Nous allons utiliser la commande \hgcmd{pull} pour apporter les @@ -569,38 +569,38 @@ a quelquechose d'un peu effrayant. Mercurial propose donc une commande \hgcmd{incoming} qui permet de savoir quelles modifications la commande \hgcmd{pull} \emph{pourrait} entraîner dans notre dépôt, -et ceci sans effectuant réellement de modification dessus. +et ceci sans effectuer réellement de modification dessus. \interaction{tour.incoming} -(Bien évidement, quelqu'un pourrait peut ajouter des modifications +(Bien évidement, quelqu'un pourrait ajouter des modifications supplémentaires sur le dépôt que nous étudions avec \hgcmd{incoming}, avant que nous ayons effectué notre \hgcmd{pull}, avec comme triste conséquence que nous aurons récupéré des modifications que nous n'attendions pas.) -Apporter les modifications rapatriées dans un dépôt sera résume donc +Apporter les modifications rapatriées dans un dépôt se résume donc à exécuter la commande \hgcmd{pull}, et préciser depuis quel dépôt effectuer le \hgcmd{pull}. \interaction{tour.pull} Comme vous le voyez avec une sortie avant et après de la commande \hgcmd{tip}, nous avons réussi à récupérer aisément les modifications -dans notre dépôt. Il reste néanmoins quelquechose à faire avant de +dans notre dépôt. Il reste néanmoins quelque chose à faire avant de placer ces modifications dans l'espace de travail. \subsection{Mise à jour de l'espace de travail} -Nous avons jusqu'à maintenant que grossièrement définie la relation +Nous avons jusqu'à maintenant grossièrement définie la relation entre un dépôt et un espace de travail. La commande \hgcmd{pull} que -nous avons exécuter dans la section~\ref{sec:tour:pull} a apportée +nous avons exécutée dans la section~\ref{sec:tour:pull} a apporté des modifications, que nous avons vérifiées, dans notre dépôt, mais -il n'ya aucune trace de ces modifications dans notre espace de travail. +il n'y a aucune trace de ces modifications dans notre espace de travail. En effet, \hgcmd{pull} ne touche pas (par défaut) à l'espace de travail. C'est la commande \hgcmd{update} qui s'en charge. \interaction{tour.update} -Il peut sembler un peu étrange que la commande \hgcmd{pull} ne met +Il peut sembler un peu étrange que la commande \hgcmd{pull} ne mette pas à jour l'espace de travail automatiquement. Il y a en fait une -très bonne raison à cela: vous pouvez utilisez la commmande +très bonne raison à cela: vous pouvez utiliser la commmande \hgcmd{update} pour mettre à jour votre espace de travail à l'état dans lequel il était à \emph{n'importe quelle révision} de l'historique du dépôt. Si vous aviez un espace de travail contenant une ancienne @@ -610,39 +610,39 @@ Néanmoins, commme les opérations de \textit{pull} sont très souvent suivies d'un \textit{update}, Mercurial vous permet de combiner les -deux aisément passant l'option \hgopt{pull}{-u} à la commande +deux aisément en passant l'option \hgopt{pull}{-u} à la commande \hgcmd{pull} \begin{codesample2} hg pull -u \end{codesample2} Si vous étudiez de nouveau la sortie de la commande \hgcmd{pull} dans -la section~\ref{sec:tour:pull} quand nous l'avons exécuter sans l'option -\hgopt{pull}{-u}, vous pouvez constater qu'elle a afficher un rappel assez -utile que vous devez encore effectuer une opération pour mettre à jour +la section~\ref{sec:tour:pull} quand nous l'avons exécutée sans l'option +\hgopt{pull}{-u}, vous pouvez constater qu'elle a affiché un rappel assez +utile : vous devez encore effectuer une opération pour mettre à jour votre espace de travail: \begin{codesample2} (run 'hg update' to get a working copy) \end{codesample2} -Pour découvrir quelle révision de l'espace de travail en est, utiliser +Pour découvrir quelle révision de l'espace de travail en est où, utiliser la commande \hgcmd{parents}. \interaction{tour.parents} Si vous regardez de nouveau le dessin~\ref{fig:tour-basic:history}, vous -verrez que les flèches reliant entreux les \textit{changeset}. Le noeud +verrez que les flèches reliant les \textit{changeset} entre eux. Le noeud dont la flèche mène \emph{de quelquepart} est dans chaque cas un parent, -et le node dont la flèche mène \emph{à quelquepart} est un enfant. +et le node dont la flèche mène \emph{vers quelquepart} est un enfant. %%%TODO: vers quelque part ? L'espace de travail a un parent de la même manière, c'est ce \textit{changeset} que l'espace de travail contient à ce moment. +%%%TODO : difficile à comprendre : l'espace de travail a un parent, de la même manière, c'est ce changeset que l'espace... Pour mettre à jour l'espace de travail d'une révision particulière, indiquer un numéro de révision ou un \textit{changeset~ID} à la commande \hgcmd{update}. \interaction{tour.older} Si vous ne précisez pas de manière explicite de numéro de révision - la commande \hgcmd{update} mettra à jour votre espace de travail avec -le contenu de la révsion \textit{tip}, comme montré dans l'exemple +le contenu de la révsion \textit{tip}, comme montrée dans l'exemple ci dessus lors du second appel à \hgcmd{update}. \subsection{Transférer les modifications à un autre dépôt} @@ -654,7 +654,7 @@ ``pousser'' tout simplement} nos modifications. \interaction{tour.clone-push} La commande \hgcmd{outgoing} nous indique quels changements nous -allons transférer vers l'autre serveyr. +allons transférer vers l'autre serveur ? \interaction{tour.outgoing} Et la commande \hgcmd{push} effectue réellement le transfert. \interaction{tour.push} @@ -671,8 +671,8 @@ \subsection{Partager ses modifications à travers le réseau} -Les commandes que nous avons étudiés dans les sections précédentes -ne sont pas limite aux dépôt locaux. Chacune fonction de la même +Les commandes que nous avons étudiées dans les sections précédentes +ne sont pas limitées aux dépôt locaux. Chacune fonctionne de la même manière à travers une connexion réseau, il suffit de lui passer une URL et non un chemin de fichier local.